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  • L'intérieur de la Cour a été verduré et un revêtement anti-bruit apposé...

    Sauf que le revêtement anti-bruit est totalement inefficace car apposé seulement sur une petite partie du mur.

    Lorsque l'on montrait la photo d'un résident escaladant les grilles, on nous disait que cela appartenait au passé.

    La photo date du 01 septembre 2008.


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  • En suivant le lien ci-après, vous trouverez le texte de l'interpellation de Mme DUPUIS par M. DRAPS au Parlement de la Région de Bruxelles capitale.


    http://www.weblex.irisnet.be/data/Crb/Biq/2006-07/ame181206/F/images.pdf

    Que penser?

    Pas mal de promesses sont faites, mais pouvons-nous y croire?

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  • Chers voisins,
     
     
    Je me permet s de réagir à ce que Monsieur Jacques VANDENHAUTE, notre Bourgmestre, affirmait le 27.09.2006 sur vivacité : la commune envisagerait de racheter l'immeuble ou le terrain mais que la commune se serait fait rouler dans ce dossier. Dont acte !
     
    Quand sera fixé l'acte notarié pour la vente du bien à la commune?
    Acheter, c'est bien, mais manifestement, vu le permis d'urbanisme demandé, l'Etat belge n'est pas vendeur, c'est le moins que l'on puisse dire.
     
    Actuellement, le dossier d'urbanisme est en charge des autorités régionales de l'urbanisme. Responsable : Mme la secrétaire d'Etat Françoise DUPUIS (P.S.). Le ministre ayant la tutelle de FEDASIL est Monsieur Christian DUPONT, P.S. également.
     
    La Commission de concertation présidée par Monsieur DRAPS a rendu un avis négatif, comme tout le monde s'y attendait. On peut toutefois regretter la grande faiblesse de la motivation de cet avis : ce n'est pas la commune de Woluwe-Saint-Pierre qui prend la décision, donc ce ne sont ni les riverains, ni la majorité communale actuelle qu'il faut convaincre, mais l'autorité urbanistique régionale. Les riverains auraient mérité un avis plus argumenté, d'autant plus qu'ils se sont fait assister, lors de la commission de concertation, d'un bureau d'avocats spécialisé en droit de l'urbanisme.
     
    Quels interlocuteurs dans ce dossier ?
    Méfions nous des tentatives de récupération politique faciles.
    On peut regretter que VANDENHAUTE qui affirme « se battre » depuis l'installation du centre n'ait pas obtenu le moindre résultat concret. La commission de concertation qui a eu lieu s'instaure dans le cadre d'un permis instruit par la région et est l'aboutissement d'une plainte déposée auprès de la région par les riverains.
     
    C'est un peu facile d'affirmer que l'on est contre le centre.
    Savoir pourquoi c'est mieux.
    Convaincre ses interlocuteurs et savoir négocier une solution humaine au problème, c'est ce que l'on doit attendre d'un bon politique.
     
    Autre interlocuteur contacté dans ce dossier : Monsieur Emmanuel DEGREZ, conseiller communal P.S. Monsieur DEGREZ était naguère un riverain du centre pour avoir habité dans la rue des volontaires et refuse de verser dans un « non au centre » facile et sans nuance. Pour Monsieur DEGREZ comme pour nous, la situation des résidents du centre mérite de l'attention, mais a fait preuve d'une écoute attentive quant aux problèmes de cohabitation qui existent. Ne perdons pas de vue que tant le Ministre de tutelle sur FEDASIL que la secrétaire d'Etat Bruxelloise à l'urbanisme sont des P.S. N'en déplaise à Monsieur VANDENHAUTE, ce sont ces responsables là qu'il faudra convaincre et avec lesquels il faudra nouer un dialogue constructif. Des contacts doivent avoir lieu.
     
    Et le CDH? VANDENHAUTE leur reproche de ne pas avoir tenu parole quant au caractère provisoire du centre. Quelle est l'utilité de cette affirmation pour les riverains ? A part un renvoi de patate chaude...je ne vois pas en quoi son dernier tract fait avancer les choses.
     
    Pour ma part, je tente de mener une défense ferme et juridiquement bien construite des riverains du centre car leurs intérêts sont également les miens. Les adversaires dans ce dossier sont FEDASIL et la régie des bâtiments, pas les résidents du centre. J'estime que l'accueil des demandeurs d'asile mérite une politique volontaire, des investissements, la recherche de solutions et de véritables projets et, d'un point de vue politique, je critique la régularisation du fait accompli, le ‘surf' sur les nécessités du moment, et le fait, pour nos responsables politiques, de jouer aux pompiers des petits incendies. A tout moment, une catastrophe quelque part peut nous amener des réfugiés par milliers. Gouverne c'est prévoir et anticiper. Mes griefs vis à vis du centre de la rue des palmiers, exemple de cette non-gestion, ne sont absolument pas en contradiction avec mes propres engagements politiques, pour ECOLO et GROEN! Les convictions vertes sont parfaitement conciliables avec l'exigence d'une gestion professionnelle, transparente et en connaissance de cause des dossiers.
     
     
     
     
    Frédéric SEGERS
    Rue des palmiers 84


     




     


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  • La commission de concertation a rendu le 21.09.2006 l'avis ci-après.
    Cet avis sera transmis au Collège des Bourgmestres et échevins.
    L'avis de CBE sera ensuite transmis à l'administration régionale de l'urbanisme qui statuera sur le permis.
    DONC C'EST AVIS N'EST QU'UN AVIS, CE N'EST PAS UN REFUS DE PERMIS!!!

    Remerciements à Monsieur Heymans pour la transparence et la clarté des informations transmises.

    "
    Decide à huis clos :

    Article 1 : La Commission de Concertation émet par 5 voix et 1 abstention l'avis suivant :


    Considérant :

    - qu'il s'agit d'un changement d'affectation d'un immeuble en centre d'accueil et d'hébergement pour les demandeurs d'asile ;
    - que le bien se situe en zone d'habitation à prédominance résidentielle au Plan Régional d'Affectation du Sol ;
    - qu'il s'agit d'une demande article 175 COBAT ;
    - qu'il s'agit d'une demande de régularisation d'affectation des lieux ayant été modifiée en 1998 ;
    - l'article A. 07 des prescriptions générales relatives à l'ensemble des zones prévoit la compatibilité de l'équipement d'intérêt collectif ou de service public avec la destination principale de la zone d'habitation à prédominance résidentielle ;
    - que les caractéristiques du cadre urbain environnement ne permettant pas des aménagements récréatifs et des lieux de détente appropriés ne perturbant pas les riverains ;
    - que la largeur de la voirie à sens unique ne permet pas un ravitaillement du centre sans entraver la circulation ;

    Vu
    - le rapport d'incidence
    - les réclamations,


    AVIS DEFAVORABLE sur l'affectation proposée
    La représentante de la Direction de l'Urbanisme s'abstient .


    Article 2 : Le présent avis sera transmis au fonctionnaire délégué.


    La Commission,


    Les membres Le Président

    "

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